Choisir de se faire pigmenter la peau doit être une décision bien réfléchie.
La dermopigmentation ? plus connu sous le terme « tatouage », même si cette pratique est de plus en plus banalisé aujourd’hui, il n’en reste pas moins un acte de modification corporelle plus ou moins douloureux. Le premier passage sous les aiguilles reste toujours un moment difficile à préparer psychologiquement. On ne sait pas à quoi s’attendre. On se doute bien que la douleur va être présente mais sans moyen de savoir si on pourra la supporter.
En dermopigmentation, qu’en est-il vraiment ?
Pas de panique, il s’agit davantage d’un inconfort. Cependant, la capacité de résister à la douleur dépend de la sensibilité de chacun, à titre de comparaison : « La plupart de mes clients ressentent des picotements désagréables mais expriment rarement de la douleur » explique Jeanne P. technicienne et fondatrice du salon LOVADERMA à Aix en Provence.
En effet, la douleur est très subjective. Cela dépend du ressenti de chacun, mais également du matériel utilisé et de l’expérience du professionnel.
Chez Lovaderma, nous utilisons des dermographes de type médicaux, spécifiquement conçus pour travailler sur des peaux ayant subi un traumatisme. Fabriquées en collaboration avec des médecins, nos machines produisent de très faibles vibrations qui garantissent un confort et une précision de pigmentation absolus.
Certaines parties du corps sont réputées plus sensibles à la douleur. Généralement, il s’agit de zones où la peau est plus fine. Cependant en dermopigmentation médicale, l’acte s’effectue sur des zones cicatricielles qui peuvent être plus ou moins sensibles car les terminaisons nerveuses du derme ayant été altérées, la sensibilité est réduite.
Le jour « J » de votre pigmentation, notre conseil face à la douleur :
L’essentiel est d’être à l’écoute de votre corps et de vos intuitions sur votre capacité à supporter la douleur. Il faut également prendre en compte que pendant la séance le confort n’est pas absolu. Restez calme et détendu et concentrez votre attention sur autre chose, cela favorisera votre tolérance à la douleur. « Au sein du cabinet, nous vous mettons à disposition des films et séries ou de la musique ». Ne buvez pas d’alcool, ne prenez pas de médicaments contre la douleur ni psychotropes avant ou pendant la séance ceci provoque des saignements plus intenses et peuvent au contraire rendre l’acte encore plus irritable.
Afin d’éviter une séance inachevée en cas de forte douleur occasionnée, vous pouvez demander au préalable à votre médecin de vous prescrire une préparation dite « désensibilisante » que nous appliquerons au besoin.